La digestion concerne chacun d'entre nous au moins trois voire quatre fois par jour. Lorsque celle-ci s’accompagne de douleurs abdominales, de ballonnements, de nausées… on parle de dyspepsie ou d’indigestion alimentaire. Dans la majorité des cas, cette « crise de foie » est bénigne ou passagère, explicable par du stress, un repas trop copieux ou trop arrosé, ou faisant suite à une gastro-entérite virale.  Si les troubles persistent, et si aucune autre cause n’est identifiée (prise de certains médicaments, diagnostic d’une maladie sous-jacente), on parle alors de dyspepsie fonctionnelle. Il existe par ailleurs d’autres pathologies du système digestif comme le reflux gastro-œsophagien, les ulcères, le syndrome de l’intestin irritable, des intolérances et allergies alimentaires, la maladie cœliaque… elles peuvent certes s’accompagner de dyspepsie, mais elles ne sont pas abordées dans cette page, car elles nécessitent des conseils complémentaires spécifiques.  Sinon, il existe plusieurs solutions naturelles pour vous soulager et mieux digérer. Elles seront encore plus efficaces si vous prenez par ailleurs soin de votre hygiène de vie. Cette page a donc été conçue avec cette vision globale de la santé pour aider à améliorer la digestion de façon durable.

Cet article a été mis à jour le 11/01/2024

Top 5 des remèdes naturels

1. Pour soulager rapidement une « crise de foie » : l'huile essentielle de Menthe Poivrée en olfaction contre les nausées et les lendemains de fête difficiles.
2. En cas de brûlures d'estomac : l'huile essentielle de Citron à prendre en fin de repas.
3. Quand les spasmes digestifs sont douloureux ou liés stress : l'huile essentielle de Petit Grain Bigarade en massage abdominal, même pour les tous petits.
4. Pour une tisane digestive : privilégier le Fenouil avec son goût anisé
5. En cure de fond pour les troubles chroniques : le macérat de jeunes pousses de Romarin pendant 3 semaines

Consulter un médecin rapidement : si rien ne permet d’expliquer les troubles (repas copieux, consommation excessive d'alcool, stress…), si les symptômes apparaissent avec la prise d’un nouveau médicament, s’il n’y a pas d’amélioration au-delà de 48h, si vous notez d’autres symptômes inhabituels (fièvre, vomissements, douleurs abdominales intenses, sang dans les selles, perte de poids)…

Ne pas oublier d’adapter son alimentation, de limiter les effets du stress et de pratiquer une activité physique régulière, mais sans excès.

Des effets rapides et puissants avec les huiles essentielles

Pourquoi utiliser des huiles essentielles ?

Les troubles digestifs étant souvent pénibles et douloureux, il est légitime de vouloir les soulager rapidement. D’où l’intérêt d’avoir recours aux huiles essentielles qui ont la capacité d’agir sur les symptômes les plus courants comme les nausées, les ballonnements, les brûlures d’estomac, les spasmes ou les douleurs abdominales. Leurs propriétés portent effecivement sur l’ensemble de la sphère digestive : augmentation des sécrétions salivaires, gastriques, pancréatiques, intestinales ; réduction des gaz intestinaux (propriété carminative) ; effet cholagogue et/ou cholérétique favorisant l’évacuation et/ou la production de bile ; réduction de l’inflammation, des douleurs et des spasmes ; pouvoir antiinfectieux et régulateur du microbiote intestinal…

La voie orale est généralement choisie pour avoir des effets rapides et puissants. Dans certaines situations, comme les spasmes abdominaux ou les nausées, l’application en massage sur le ventre ou leur inhalation seront aussi efficaces tout en étant plus souple d’emploi.

Les huiles essentielles ont par ailleurs l’avantage de soulager rapidement sans avoir d’effets perturbateurs sur le fonctionnement du système digestif, contrairement aux « anti-acides » qui sont les médicaments les plus couramment utilisés en cas de digestion difficile. Cependant, si les troubles persistent au-delà de 48h ou s’ils s’accompagnent de signes comme des vomissements abondants, de la fièvre, une perte de poids… une consultation médicale s’impose.

En cas de nausées, « gueule de bois », excès de table, lendemains de fête difficiles

Les huiles essentielles à privilégier sont celles qui vont surtout soutenir le fonctionnement du foie comme l'huile essentielle de Menthe Poivrée (réservée aux adultes et adolescents) ou l'huile essentielle de Citron ainsi que les autres essences d'agrumes comme le Pamplemousse et l'Orange douce.

  • À partir de 6 ans. Par voie orale. 1 goutte dans une cuillère à café de miel ou sur un comprimé neutre en fin de repas. Pendant 2 à 3 jours maximum.
  • À partir de 3 ans. En inhalation. Respirer directement au-dessus du flacon. Il est également possible de déposer quelques gouttes sur la mèche d’un inhalateur ou un mouchoir, à respirer dès que l’envie se fait sentir.
En cas de ballonnements, flatulence et météorismes

Les huiles essentielles incontournables sont le Laurier Noble ou la Cardamome.

  • À partir de 6 ans. Par voie orale. 1 goutte dans une cuillère à café de miel ou sur un comprimé neutre en fin de repas. Pendant 2 à 3 jours maximum.
En cas d’aigreurs et de brulures d’estomac

Le réflexe rapide à avoir sera l’huile essentielle de Menthe Poivrée (réservée aux adultes et adolescents en usage ponctuel) ou l'huile essentielle de Citron, plus souple d’emploi.

  • À partir de 6 ans. Par voie orale. 1 goutte dans une cuillère à café de miel ou sur un comprimé neutre à prendre en fin de repas. Pendant 2 à 3 jours maximum.
En cas de spasmes et de douleurs abdominales

Plusieurs huiles essentielles sont connues pour leurs propriétés antispasmodiques. Le Basilic tropical ou l'Estragon sont réservés aux adultes et aux enfants de plus de 6 ans. La Camomille Romaine, le Petit Grain Bigarade ou la Lavande Fine ou Vraie s’utiliseront plutôt par voie cutanée ou en olfaction.

  • À partir de 6 ans. Par voie orale. 1 goutte dans une cuillère à café de miel ou sur un comprimé neutre en fin de repas. Pendant 2 à 3 jours maximum.
  • À partir de 3 ans. En inhalation. Respirer directement au-dessus du flacon. Il est également possible de déposer quelques gouttes sur la mèche d’un inhalateur ou un mouchoir, à respirer dès que l’envie se fait sentir.
  • À partir de 3 mois. En application cutanée. Diluer l’huile essentielle à hauteur de 5 à 10% dans une huile végétale (15 à 30 gouttes d’HE dans 9 mL d’HV). Appliquer 2-3 gouttes du mélange en massage sur le ventre

Des tisanes pour soulager et détoxifier

Dans quels cas utiliser les tisanes ?

Pour les personnes qui aiment prendre le temps d’une tisane ou celles qui ne peuvent pas utiliser les huiles essentielles, les infusions de plantes sont des alternatives naturelles très intéressantes. Elles sont certes moins concentrées que les huiles essentielles, mais leurs effets sur la sphère digestive sont largement reconnus. C’est même l’un de leurs domaines de prédilection avec de très nombreuses plantes aux propriétés antispasmodiques, antiulcéreuses, antinauséeuses, cholagogue et cholérétiques... Prises ponctuellement après le repas, elles permettront ainsi de soulager les troubles digestifs et les maux de ventre, y compris ceux qui sont d’origine nerveuse.

En cas de dyspepsie fonctionnelle chronique, les plantes pourront également être utilisées pendant une vingtaine de jour, en choisissant des plantes spécifiques pour faire une cure plus globale de drainage ou de détoxification.

Quelles plantes choisir ?
  • Parmi les plantes digestives les plus utilisées en tisanes, on retrouve le Fenouil, le Laurier, la Menthe Douce ou la Menthe Poivrée, le Thym, la Sauge Officinale...
  • Dans les cas où les troubles digestifs sont en lien avec le stress, on privilégiera plutôt les infusions à base de plantes comme la Mélisse ou la Verveine odorante qui sont également utilisées en cas d’insomnies pour leurs propriétés calmantes.
  • Pour faire une cure détox, on choisira l’Artichaut, le Romarin ou encore le Pissenlit.
Comment les utiliser ?

Les plantes peuvent être utilisées seules ou en mélanges pour profiter pleinement de leurs effets synergiques. En infusion : pour une tasse, verser de l’eau frémissante (idéalement à une température de 80-90°C) sur une cuillerée à soupe de plantes sèches (3 à 5 feuilles pour le Laurier). La durée d’infusion varie de 5 à 10 minutes

Une action globale sur la sphère digestive avec la gemmothérapie

Dans quels cas les macérats de bourgeons sont-ils pertinents ?

La gemmothérapie va surtout être être intéressante sous forme de cure en cas de dyspepsie fonctionnelle chronique. Plusieurs macérats de bourgeons sont en effet connus pour avoir des effets stimulants ou calmants sur la sphère digestive. Selon la cause, il sera possible d’agir à différents niveaux comme le stress, une insuffisance hépatobiliaire, un terrain inflammatoire ou un déséquilibre de la flore intestinale.

Ils sont assez souples d’emploi, mais compte tenu de la présence d’alcool dans leur composition, les macérats de bourgeons sont déconseillés chez les enfants de moins de 3 ans et les femmes enceintes.

Quels macérats choisir ?

Certains macérats sont incontournables en cas de problèmes digestifs. Voici une sélection avec un résumé de leurs spécificités pour vous aider à choisir, surtout s’il s’agit d’une première utilisation :

Comment les utiliser ?

Commencer par une cure de 3 semaines avec un des macérats de bourgeons les plus adaptés à votre terrain, suivie d’un arrêt d’une semaine.

  • Adultes et adolescents : 5 à 15 gouttes par jour dans un verre d'eau (ou pures), 15 minutes avant le repas, pendant 3 semaines. Commencer par 5 gouttes et augmenter au fur et à mesure (par exemple : 5 gouttes la première semaine, 10 la deuxième et 15 la dernière).
  • Enfants de + de 3 ans : 1 goutte par jour pour 10 kilos, en commençant par une goutte et en augmentant progressivement la dose (par exemple : un enfant de 9 ans pesant 40 kilos pourra ingérer jusqu'à 4 gouttes).

Dans un deuxième temps il sera possible de prendre plusieurs bourgeons ensemble et de faire régulièrement des cures d’entretien.

Des hydrolats pour une action douce et profonde

Dans quels cas privilégier les hydrolats ?

Les hydrolats conviennent parfaitement aux femmes enceintes et aux enfants dès le plus jeune âge. Beaucoup moins concentrés que les huiles essentielles, ils sont en effet plus souples d’emploi. Ils contiennent néanmoins des molécules actives perceptibles à leur odeur aromatique. En usage ponctuel, les hydrolats seront ainsi particulièrement appréciés par les femmes enceintes car la grossesse fait partie des facteurs favorisant la dyspepsie

Rapides et faciles d'emploi, les hydrolats plairont aussi à ceux qui sont pressés et n'ont pas le temps de préparer une tisane digestive.

Quels hydrolats choisir ?
  • L’hydrolat de Menthe Poivrée est un incontournable de la sphère digestive. Particulièrement polyvalent, il pourra être utilisé dans la majorité des troubles liés à la dyspepsie : nausées, digestion lente, spasmes abdominaux, insuffisance hépato-biliaire…
  • Pour les femmes enceintes et allaitantes, on remplacera la Menthe Poivrée par l’hydrolat de Laurier Noble. Quant aux bébés et aux jeunes enfants sujets aux maux de ventre, le plus approprié sera l’hydrolat de Camomille Romaine.
  • En cas de dyspepsie chronique, l’hydrolat de Carotte pourra s’utiliser en cure comme draineur et régénérant du système hépato-biliaire. Pour rappel, les cures « détox » sont déconseillées pendant la grossesse, même avec des hydrolats.
Comment les utiliser ?

Pour améliorer la digestion et profiter de leurs bienfaits, les hydrolats peuvent être utilisés par voie orale, seuls ou en mélange, ponctuellement ou en cures d’une vingtaine de jours pour une action plus globale :

  • A partir de 3 mois : diluer 1 cuillère à café dans le biberon, de préférence tiède.
  • Pour les adultes et adolescents : diluer 1 cuillère à café d'hydrolat dans un verre d'eau, de préférence tiède, 2 fois par jour.

Le bicarbonate de soude, un remède de grand-mère efficace ?

Dans quels cas l'utiliser ?

Le bicarbonate de soude est souvent proposé comme solution naturelle en cas de digestion difficile. Il a en effet la capacité, en réduisant l'excès d'acidité dans l'estomac, de soulager certains symptômes de la dyspepsie tels que les brûlures d'estomac et les ballonnements. Cependant, les problèmes d’estomac ne sont pas toujours liés à une hyperacidité.

Le recours au bicarbonate de soude, comme aux autres traitements antiacides, ne devrait donc pas être systématique, d’autant que leur usage régulier peut avoir des effets secondaires. En réduisant trop l'acidité de l’estomac, ils peuvent en effet perturber l'écosystème gastrique, avec des conséquences sur la digestion des protéines, mais aussi sur le métabolisme de la vitamine B12… et favoriser l’installation de bactéries comme l’Helicobacter pylori impliquées dans les ulcères gastriques. Il est donc préférable de limiter le bicarbonate de soude à des usages ponctuels. Sinon, il vaut mieux privilégier les approches à base de plantes qui viennent en soutien du fonctionnement de l’estomac et du système digestif dans sa globalité.

Comment l'utiliser ?
Pour adultes. Par voie orale ajouter une cuillère à café dans un verre d’eau à boire. À utiliser après le repas, ponctuellement.

Identifier les causes les plus courantes

Parmi les causes les plus courantes des problèmes de digestion, on retrouve le tabac, un excès d’alcool ou de café, certains médicaments (ex : aspirine et autres anti-inflammatoires non stéroïdiens), … Les difficultés à digérer peuvent également être entretenues par des problèmes psychiques comme l’anxiété. Sauf s’il s’agit d’une indigestion ponctuelle, tous ces facteurs devraient donc être pris en compte pour prévenir ou limiter les troubles. Par ailleurs, il est important de rappeler qu’un avis médical s’impose quand les signes perdurent ou s’aggravent afin de ne pas passer à côté de causes plus graves nécessitant une prise en charge spécifique.

Il existe aussi des facteurs liés au mode de vie qui favorisent nettement l’apparition et l’entretien des troubles digestifs : le stress, les mauvaises habitudes alimentaires ou le manque d’activité physique. Prendre soin de son hygiène de vie sera donc essentiel pour mieux digérer de manière durable.

Limiter les effets du stress

Les situations de stress ont de nombreuses répercussions sur l’organisme en général et sur le système digestif en particulier avec des perturbations de la sécrétion gastrique, du transit et du microbiote, des spasmes intestinaux… Ces perturbations sont notamment la conséquence d’une stimulation du système sympathique. Toutes les méthodes utilisées pour aider à mieux gérer le stress vont donc aider à mieux digérer. Chacun pourra choisir celle qui lui convient le mieux en fonction de ses goûts et de son mode de vie. L’idéal serait de les mettre en pratique avant les repas pour favoriser un état de détente préalable, propice à une bonne digestion.

Méditation, respiration profonde, sophrologie… toutes ces techniques anti-stress ont fait l’objet d’études permettant de valider leur efficacité. Les plus pressés choisiront l’olfaction des huiles essentielles ou la cohérence cardiaque qui en quelques minutes permettent de réduire significativement le niveau de stress en stimulant le système parasympathique.

Adapter son alimentation

  • Prendre le temps de mâcher, de savourer, de déguster… pour ensaliver les aliments, bien entamer le processus de digestion et faciliter le travail de l’estomac ;
  • Préférer les petits repas légers à horaires réguliers, plutôt que les festins trop gras ou trop copieux.
  • Donner une place de choix aux aliments riches en fibres (fruits, légumes, légumineuses, céréales et farines (semi)complètes, oléagineux…) en augmentant progressivement les quantités pour éviter d'obtenir l'effet inverse avec des douleurs abdominales, des ballonnements, des troubles du transit.
  • Ajouter des herbes aromatiques à vos plats. La plupart d’entre elles sont les mêmes plantes que celles qui sont proposées en huiles essentielles ou en tisanes pour leurs propriétés digestives : basilic, coriandre, fenouil, laurier, romarin…
  • Limiter le café, les boissons gazeuses, acides ou alcoolisées.
  • Eviter le plus possible les fast-foods, les aliments trop raffinés, les plats et viennoiseries industriels, les sources de « mauvais » gras qui sont globalement néfastes pour le système digestif et la flore intestinale.

Pratiquer une activité physique

La pratique régulière d’une activité physique est largement reconnue pour avoir des effets positifs sur la santé. Concernant le système digestif, ses bénéfices sont multiples, tant sur le plan physique que mental. En effet, par la contraction des muscles intestinaux et l’activation du péristaltisme, l’activité physique favorise une bonne digestion et un bon transit. Elle est notamment recommandée pour les individus sédentaires souffrant de ballonnements, et surtout de constipation. En complément, la pratique d’une activité physique permet également de réduire le niveau de stress.

Il est toutefois important de bien distinguer l’activité physique par rapport au sport, surtout s’il est pratiqué de manière intensive. En effet, un excès d’activité physique peut, au contraire, favoriser les troubles digestifs et les amplifier par le stress en cas de compétition. On privilégiera donc les pratiques « douces » comme la marche, le vélo, le yoga… de préférence après le repas, comme la fameuse « promenade digestive ».

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Bibliographie

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Ouvrage : Piterà di Clima, F., & Nicoletti, M. (2018). Précis de gemmothérapie - Fondements scientifiques de la Méristémothérapie. Éditions Amyris.

Ouvrage : Pineau, L. (2019). Le grand livre de la gemmothérapie. Leduc.s Éditions.

Ouvrage : Millet, F. (2022). Le grand guide des huiles essentielles. Marabout.

Ouvrage : de la Charie, T. (2019). Se soigner par les huiles essentielles. Pourquoi et comment ça marche ? Editions du Rocher.

Ouvrage : Enders, G. (2017). Le charme discret de l’intestin : Tout sur un organe mal aimé.

Site Web : Définition, symptômes et causes de la dyspepsie. (s. d.). https://www.ameli.fr/rhone/assure/sante/themes/dyspepsie-mauvaise-digestion/definition-causes-symptomes-dyspepsie

Site Web : WikiPhyto, l’encyclopédie de la phytothérapie. (s. d.). à l’adresse http://www.wikiphyto.org/wiki/Accueil

À propos de ces conseils

Cet article d'aromathérapie a été rédigé par Théophane de la Charie, auteur du livre "Se soigner par les huiles essentielles", accompagné d'une équipe pluridisciplinaire composée de pharmaciens, de biochimistes et d'agronomes. 

La Compagnie des Sens et ses équipes n'encouragent pas l'automédication. Les informations et conseils délivrés sont issus d'une base bibliographique de référence (ouvrages, publications scientifiques, etc.). Ils sont donnés à titre informatif, ou pour proposer des pistes de réflexion : ils ne doivent en aucun cas se substituer à un diagnostic, une consultation ou un suivi médical, et ne peuvent engager la responsabilité de la Compagnie des Sens.