Macérats de bourgeons de Framboisier ou d’Airelle, extraits de Houblon et de Fucus : certaines plantes se révèlent particulièrement utiles pour accompagner les changements de poids liés à la ménopause. À cette période de la vie, de nombreuses femmes constatent une prise de poids inexpliquée, un ventre plus gonflé, ainsi qu’une perte progressive de masse musculaire, parfois malgré une hygiène de vie stable. Ces modifications sont le résultat d’un ralentissement du métabolisme, d’une redistribution des graisses, mais aussi de fluctuations hormonales, notamment une baisse des œstrogènes ou du fonctionnement de la thyroïde. Comprendre ces causes permet de mieux cibler les approches naturelles à adopter, en soutien à une alimentation équilibrée et une activité physique adaptée

Cet article a été mis à jour le 09/06/2025

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Top 5 des plantes pour aider à gérer le poids en période de ménopause

1 – Pour la régulation de la progestérone et des œstrogènes, le Framboisier

Le macérat de bourgeons de Framboisier est couramment utilisé en gemmothérapie pour accompagner les perturbations hormonales du cycle féminin. Il agit en effet comme un régulateur hormonal, ce qui en fait un allié naturel en période de baisse de la progestérone et/ou des œstrogènes pendant la ménopause. Le Framboisier peut ainsi aider à limiter les prises de poids hormonales, réduire la rétention d’eau et améliorer le confort global durant cette période de transition.

2 - Pour un effet coupe-faim, le Konjac

Le Konjac, grâce à sa richesse en glucomannane, est une fibre sans calorie qui gonfle dans l’estomac, favorise la satiété et aide ainsi à réduire l’appétit et l’apport calorique. Bien qu’il ne fasse pas maigrir à lui seul, il peut être un allié efficace dans le cadre d’un régime hypocalorique et équilibré comme coupe-faim.

3 – Pour limiter le grignotage, l’huile essentielle de Pamplemousse

L’huile essentielle de Pamplemousse est connue pour limiter les pulsions alimentaires, en aidant à limiter les envies de sucre et le grignotage. Grâce à son action olfactive stimulante sur le système nerveux, elle peut être un bon réflexe pour accompagner les fringales émotionnelles ou compulsives.

4 –  Le Griffonia pour réguler l’humeur et l’appétit

Naturellement riche en 5-HTP, le Griffonia soutient la production de sérotonine, un neurotransmetteur essentiel pour l'équilibre émotionnel, la gestion des fringales et la qualité du sommeil. En période de ménopause, il aide à réduire l’irritabilité, les troubles du sommeil et les envies de grignotage, tout en favorisant un bien-être global. Un allié précieux pour réguler le moral et accompagner la silhouette.

5 - Pour limiter la cellulite, le Cèdre de l’Atlas

L’huile essentielle de Cèdre de l’Atlas est réputée pour son action lipolytique, c’est-à-dire qu’elle aide à déstocker les graisses localisées, notamment dans les zones sujettes à la cellulite. Grâce à ses propriétés décongestionnantes et drainantes, elle stimule la circulation lymphatique et favorise l’élimination des toxines.

En cas de prise de poids (abdominale)

Les huiles essentielles contre les pulsions de grignotage

Les huiles essentielles d’agrumes, comme l’huile essentielle de Pamplemousse et l’huile essentielle de Citron, se révèlent utiles pour mieux gérer l’appétit et favoriser la régulation métabolique pendant la ménopause.

Pour adultes. 

  • En olfaction. Respirer directement au-dessus du flacon ou mettre quelques gouttes sur une mèche pour stick inhalateur. Inhaler profondément en cas de fringales, autant de fois et dès que nécessaire.
  • En diffusion. Diffuser l’huile essentielle de Citron, l’huile essentielle de Mandarine Verte ou l’huile essentielle de Pamplemousse par plage de 15 à 20 minutes maximum, 3 à 4 fois par jour. Se référer aux instructions pour connaître le nombre de gouttes à ajouter dans le diffuseur. 

Précautions d’utilisation :

Demander un avis médical en cas d’asthme avant utilisation.

Pourquoi sont-elles efficaces ?

L’huile essentielle de Pamplemousse et l’huile essentielle de Citron et l’huile essentielle de Mandarine n'entraînent pas une perte de poids directe, mais elles peuvent être utiles pour limiter les envies de grignotage et les fringales. Leur action passe notamment par une influence positive sur les neuromédiateurs du bien-être, tels que la sérotonine et la dopamine, qui jouent un rôle clé dans les comportements alimentaires émotionnels. Cette propriété est essentiellement liée à leur richesse en limonène, un composé actif reconnu pour ses effets coupe-faim. Le choix entre ces essences d’agrumes se fait selon les préférences olfactives de chacun, leur efficacité étant relativement comparable.

Il est possible de les utiliser en synergie avec d’autres huiles essentielles coupe-faim, en particulier l’huile essentielle de Cannelle contre les envies de sucre. Son action repose sur le cinnamaldéhyde, une molécule aromatique capable d’interagir avec les récepteurs gustatifs et olfactifs. Cette stimulation envoie un signal nerveux vers le système limbique, la zone du cerveau impliquée dans la gestion des émotions et des comportements alimentaires, aidant ainsi à modérer les pulsions de grignotage.

Le Griffonia pour réguler l’humeur et l’appétit

Le Griffonia est une plante naturellement riche en 5-HTP (5-hydroxytryptophane), un précurseur direct de la sérotonine, neurotransmetteur clé dans la régulation de l’humeur, de l’appétit et du sommeil. En soutenant la production de sérotonine, le Griffonia contribue à réduire les envies compulsives, à stabiliser les émotions et à favoriser un sommeil de qualité. Intégré dans une approche globale, il peut ainsi accompagner la perte de poids tout en renforçant le bien-être général.

Utilisation : Il est conseillé de réaliserune prise de gélules à environ 300mg de Griffonia, idéalement dosé au-delà de 30 % en 5-HTP, par jour pendant un mois.

Le Konjac comme coupe-faim

Le Konjac, grâce à sa teneur exceptionnelle en glucomannane (plus de 85 %), forme un gel visqueux dans l’estomac après ingestion, ralentissant la vidange gastrique et provoquant une sensation de satiété durable. Pris avant les repas, le Konjac peut aider à réduire les apports caloriques, tout en agissant positivement sur le cholestérol, la glycémie et la santé du microbiote intestinal.

Le Fucus en cas de résistance à la perte le poids

Le Fucus vésiculeux (Fucus vesiculosus)est une algue brune riche en iode et en mucilages, traditionnellement utilisée pour aider à l’amaigrissement, surtout en cas de résistance à la perte de poids. L’iode qu’il contient est indispensable à la synthèse des hormones thyroïdiennes qui régulent le métabolisme de base. De nos jours, les déficits d’apport en iode sont rares, mais le risque de ralentissement de la fonction thyroïdienne augmente à la ménopause et peut notamment s’accompagner d’une résistance à la perte de poids malgré la mise en place d’un régime.  Un apport adapté en Fucus peut ainsi contribuer à rétablir l’équilibre hormonal et le métabolisme énergétique. Par ailleurs, le Fucus contient des mucilages (alginate et acide alginique) capables de gonfler dans l’estomac au contact de l’eau, formant un gel visqueux qui augmente la sensation de satiété. Cet effet "coupe-faim mécanique" peut réduire les apports caloriques au cours des repas. Des études suggèrent également que certains de ses composés, comme la fucoxanthine, pourraient limiter l’absorption des graisses en inhibant partiellement la lipase pancréatique, bien que ces mécanismes n’aient pas encore été validés cliniquement.

Vous pouvez trouver plus de détails sur son utilisation sur la page : Le Fucus fait-il maigrir ?

Attention toutefois : le Fucus ne doit pas être consommé en cas de pathologies cardiaques, rénales ou thyroïdiennes, de prise d’un traitement à visée thyroïdienne. Un bilan et un suivi médical sont recommandés pour s’assurer que son usage est adapté à votre situation et ne présente pas de risques.

La Rhodiole comme soutien du métabolisme

Plante adaptogène reconnue, la Rhodiole aide à mieux résister au stress, un facteur souvent impliqué dans la prise de poids à la ménopause. En régulant le cortisol et en agissant sur la sérotonine, elle contribue à limiter les compulsions alimentaires et à stabiliser l’humeur. Par ailleurs, des études préliminaires suggèrent qu’elle pourrait freiner la formation de cellules graisseuses et stimuler la dégradation des lipides, grâce à des composés comme les rosavines et le salidroside. Sans être un brûle-graisse à proprement parler, la Rhodiole s’inscrit comme un soutien global pour mieux gérer l’appétit, le métabolisme et le bien-être émotionnel pendant la ménopause.

Pour utiliser la Rhodiole, nous vous invitons à consulter la page : Perte de poids : la Rhodiole peut-elle aider ?

En cas de ventre gonflé et douloureux

Lors de la ménopause, certaines femmes peuvent ressentir une sensation de lourdeur ou de pression dans le bas-ventre, parfois accompagnée de douleurs pelviennes diffuses. Dans ce contexte, l’huile essentielle d’Estragon constitue une option naturelle intéressante grâce à sa teneur élevée en méthyl-chavicol, une molécule reconnue pour ses propriétés antispasmodiques et digestives. Ce composé, que l’on retrouve également en forte concentration dans l’huile essentielle de Basilic tropical, agit sur les muscles lisses présents dans le système digestif et utérin, aidant ainsi à soulager les tensions abdominales et les spasmes.

Pour adultes :

  • Voie orale (usage ponctuel uniquement) : déposer 2 gouttes d’huile essentielle d’Estragon sur un comprimé neutre, à prendre après le repas. Ce mode d'utilisation est à réserver aux adultes avertis, sur une courte durée. Il est fortement recommandé de ne pas prolonger l’utilisation sans avis médical, en particulier chez les grands fumeurs, ou en cas d’antécédents de pathologies cancéreuses.
  • Voie cutanée (utilisation locale et temporaire) : diluer 1 goutte d’huile essentielle d’Estragon dans 4 gouttes d’huile végétale, puis masser le bas-ventre en douceur. Ce geste peut être renouvelé pendant quelques jours, sans usage prolongé, pour soulager les tensions abdominales liées aux spasmes.

Précautions d’utilisation : Cette huile essentielle est contre-indiquée aux femmes enceintes et allaitantes ainsi qu'aux enfants de moins de 6 ans. Elle est également interdite aux personnes présentant des troubles hépatiques, de la coagulation ou en cas de traitement anticoagulant. Elle peut être irritante pour la peau, et ne doit pas être appliquée pure, mais de préférence diluée dans une huile végétale. 

Si vous êtes particulièrement concernée par différents types de maux de ventre qui peuvent survenir avec l’âge, vous pouvez consulter la page : Ventre gonflé : quels remèdes de grand-mère choisir ?

Les cures permettant de limiter la baisse des hormones

Le Framboisier : pour la régulation de la progestérone et des œstrogènes

Souvent surnommé "le macérat de la femme", le macérat de bourgeons de Framboisier agit en profondeur sur le système hormonal féminin. Il est recommandé aussi bien en cas de carence en œstrogènes (bouffées de chaleur, sécheresses, fatigue) que d’excès œstrogénique (rétention d’eau, douleurs mammaires, maux de tête, ballonnements, troubles de l’humeur). Sans cibler directement les gonflements abdominaux, il agit sur l’ensemble des déséquilibres cycliques que l’on retrouve aussi en périménopause. Chez certaines femmes, il conviendra d’utiliser l’Airelle qui est l’autre bourgeon de la ménopause.

Utiliation : Cure de 3 semaines, suivie d’une semaine de pause. Peut être renouvelée sur plusieurs cycles. Prendre 5 à 15 gouttes par jour, dans un verre d’eau ou pures, 15 minutes avant un repas. Commencer à 5 gouttes en début de cycle et augmenter progressivement (ex. : 5 gouttes la 1ère semaine, 10 la 2e, 15 la 3e).

Le Houblon à l’activité œstrogène-like

Le Houblon (Nom latin) pourrait contribuer à limiter la prise de poids après la ménopause, notamment grâce à son activité œstrogène-like et à ses propriétés anti-inflammatoires. Une étude préclinique menée chez des souris ovariectomisées – un modèle animal reproduisant les conditions de la ménopause – a montré que la supplémentation en extrait de Houblon permettait de réduire la prise de poids, l’adiposité abdominale ainsi que l’inflammation intestinale, tout en modulant favorablement le microbiote intestinal (Hamm et al., 2019). Bien que ces résultats doivent encore être confirmés chez l’humain, ils suggèrent que le Houblon pourrait avoir un rôle à jouer dans une approche globale de gestion du poids pendant la ménopause, en complément d’une alimentation équilibrée et d’un mode de vie actif.

Le Houblon peut être utilisé sous plusieurs formes :

  • En gélules, à raison de 100 à 250 mg d’extrait sec par jour, pendant au moins 6 semaines, de préférence le soir en cas de troubles du sommeil ou de sueurs nocturnes.
  • En teinture mère, à raison de 25 à 50 gouttes, une à deux fois par jour, diluées dans un verre d’eau.
  • En infusion, en laissant infuser 1 à 2 g de cônes séchés dans de l’eau chaude, à boire de préférence le soir.

Pour cibler les symptômes liés à la carence en œstrogènes, il est conseillé de choisir des extraits de qualité, titrés en 8-prénylnaringénine, un phytoestrogène reconnu pour son activité hormonale modérée.

Menobalance+ : une cure de capsules ayant une action globale

Il existe également des compléments alimentaires complets associant plusieurs actifs naturels évoqués précédemment, comme c’est le cas de MenoBalance+®. Ce type de formule présente l’avantage d’agir de manière globale sur les symptômes variés de la ménopause, en apportant un soulagement durable et ciblé aux femmes concernées.

Ce complément repose sur une synergie d’extraits de plantes et de molécules actives, dont l’efficacité a été validée par une étude clinique, pour accompagner l’organisme tout au long de cette période de transition hormonale.

Prendre soin de son alimentation et de son hygiène de vie

Pour accompagner la perte de poids pendant la ménopause, certains aliments riches en fibres solubles peuvent jouer un rôle clé dans la régulation de l’appétit, de la glycémie et de la satiété. C’est le des graines de Chia qui se comportent comme de petites éponges à fibres solubles. Une fois gonflées dans l’eau, elles ralentissent l’absorption des glucides et des lipides, limitent les pics glycémiques et préservent la satiété entre les repas. Riches en oméga-3 (acide alpha-linolénique) et à faible indice glycémique, elles soutiennent aussi une cholestérolémie normale.

Perdre du poids de façon saine et durable repose aussi sur l’adoption d’une alimentation équilibrée et variée, adaptée à son mode de vie, ainsi que sur la pratique quotidienne d’une activité physique. Ces bonnes habitudes permettent de favoriser une dépense énergétique supérieure aux apports, tout en maintenant le plaisir de manger, sans frustrations ni restrictions drastiques. Cependant, face à la complexité des mécanismes impliqués dans la perte de poids (stress, hormones, sédentarité...), un accompagnement par un professionnel de la nutrition est souvent essentiel pour éviter les régimes déséquilibrés, assurer un suivi personnalisé et prévenir la reprise de poids à long terme.

En cas de perte de poids et de fonte musculaire

Si la ménopause est souvent associée à une prise de poids, certaines femmes peuvent au contraire observer une perte de poids involontaire, qui peut s’associer en fait à une fonte musculaire. Dans ce cas, il est essentiel de soutenir l’appétit, tout en maintenant la masse maigre. L’huile essentielle de Cannelle, connue pour ses propriétés stimulantes, peut être utilisée ponctuellement pour favoriser l’appétit, notamment en cas de baisse de motivation alimentaire ou de troubles digestifs légers.

Parallèlement, il est indispensable de couvrir les besoins quotidiens en protéines, à raison de 1 à 1,2 g/kg de poids corporel par jour selon l’activité physique. Cet apport protéique suffisant, couplé à une activité physique régulière, en particulier des exercices de renforcement musculaire, permet de limiter la sarcopénie (perte de masse musculaire liée à l’âge) et de stabiliser le poids de manière saine. Si la perte de poids est inexpliquée, rapide ou importante, il est essentiel de consulter rapidement pour bénéficier d’un diagnostic médical.

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Bibliographie

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Ouvrage : de la Charie, T. (2019). Se soigner par les huiles essentielles. Pourquoi et comment ça marche ? Editions du Rocher.

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À propos de ces conseils

Cet article d'aromathérapie a été rédigé par Théophane de la Charie, auteur du livre "Se soigner par les huiles essentielles", accompagné d'une équipe pluridisciplinaire composée de pharmaciens, de biochimistes et d'agronomes. 

La Compagnie des Sens et ses équipes n'encouragent pas l'automédication. Les informations et conseils délivrés sont issus d'une base bibliographique de référence (ouvrages, publications scientifiques, etc.). Ils sont donnés à titre informatif, ou pour proposer des pistes de réflexion : ils ne doivent en aucun cas se substituer à un diagnostic, une consultation ou un suivi médical, et ne peuvent engager la responsabilité de la Compagnie des Sens.