La diverticulite correspond à l’inflammation d’un diverticule. Un diverticule est une poche en forme de sac s’installant de façon asymptomatique sur la paroi du côlon. Un régime alimentaire sans résidu est indispensable lors des phases inflammatoires (douloureuses). Ce régime a pour objectif de mettre le système digestif au repos. Il est extrêmement restrictif puisqu’il exclut tous les nutriments non ou mal digérés, comme les fibres animales, les fibres végétales ou le lactose, ainsi que les substances irritantes pour le système digestif.

Cet article a été mis à jour le 04/12/2023

Origine du problème

Un diverticule est une poche de la muqueuse colique qui passe à travers la couche musculaire du côlon. Longtemps quiescente, la diverticulose se manifeste par des poussées aiguës de diverticulite (environ 5 % des patients atteints de diverticules deviendront symptomatiques). Une diverticulite est une inflammation d’un ou plusieurs diverticules. On pensait que l’inflammation d’un diverticule traduisait une infection bactérienne de ce dernier. Or, les données émergentes suggèrent que la diverticulite est plus inflammatoire qu’infectieuse.

La diverticulite provoque des douleurs localisées sur la fosse iliaque gauche (en bas à gauche de l’abdomen). Sur le plan biologique, on observe une forte augmentation du taux plasmatique de la protéine C-réactive (CRP) : un marqueur de l’inflammation.

Le traitement de première intention des diverticules est symptomatique : anti-inflammatoire et régime alimentaire sans résidu. Un résidu alimentaire (ou nutriment résiduel) est un nutriment susceptible de ne pas être absorbé par l’intestin. Le régime sans résidu est essentiel pour soulager l’inflammation et la douleur.

Objectif du régime sans résidus

Le rôle du régime sans résidus est de calmer les douleurs par la mise au repos des intestins. Pour cela, on supprime toutes les substances qui augmentent le travail intestinal ou qui sont agressives pour les muqueuses digestives, telles que les :

  • Fibres végétales : les fibres végétales sont des polymères glucidiques. Nous ne disposons pas du matériel enzymatique nécessaire pour digérer et absorber les fibres, elles traversent donc notre tube digestif. Les fibres végétales augmentent la masse fécale, le débit fécal et sont en contact avec les parois du côlon (comme elles ne sont pas absorbées). En bref, les fibres peuvent irriter les muqueuses et/ou favoriser des inconforts digestifs en raison de fermentations excessives.

  • Amidons résistants : c'est une forme d’amidon (glucide) qui se comporte comme une fibre végétale fermentescible (métabolisée par le microbiote intestinal). En raison de sa conformation particulière, nous sommes incapables de le dégrader : il résiste à la digestion. Ainsi, il parvient intact au côlon, c’est alors un nutriment résiduel.

  • Protéines fibreuses : les protéines fibreuses constituent une sous-catégorie des protéines. Ce sont de longues protéines en forme de filaments. Compte tenu de leurs grandes tailles, elles sont mal digérées par les protéases.

  • Lactose : le lactose est un sucre simple des produits laitiers. Pour digérer le lactose, nous disposons d’une enzyme nommée lactase. En grandissant, la production de lactase se fait de plus en plus rare. Un déficit en lactase entraine une intolérance au lactose. Le lactose mal digéré devient un résidu au niveau du côlon, à l’origine de fermentations et de perturbations du transit.

  • Irritants digestifs : certains composés sont peu digestes. Ils ont tendance à irriter les muqueuses digestives, ce qui accentue l’inflammation (et les douleurs). L’alcool, la capsaïcine des épices fortes, ou encore les matières grasses cuites irritent les parois digestives.

  • Lipides (en excès !) : les acides gras sont cholécystokinétiques (ils favorisent la contraction de la vésicule biliaire), stimulent le péristaltisme intestinal et émollient les selles. L’ensemble accélère le transit digestif.

Limites du régime sans résidus

Attention, le régime sans résidus est un régime de courte durée : maximum 10 jours. C’est un régime médical, prescrit par un professionnel de la santé. Il fait partie des régimes les plus restrictifs, ses conséquences pour la santé ne sont donc pas à minimiser : perte de poids, carences nutritionnelles, fatigue, troubles digestifs, majoration de la diverticulose…

Dès que les douleurs s’amendent, il est essentiel de réintroduire progressivement les aliments interdits (évolution du régime sans résidus en régime sans résidus large). Par ordre chronologique, veuillez réintroduire tous les deux à trois jours : les produits laitiers (sauf si intolérance), les fruits cuits sans pelure, les potages, les légumes cuits sans pelure, les fruits crus bien mûrs sans pelure, les fruits crus, les légumes crus, les aliments gras (les charcuteries, les fromages, les fritures), les matières grasses cuites, les céréales semi-complètes, les fruits secs, les fruits à coques, les céréales complètes, les légumes secs.

Lorsque l’évolution est favorable et que la totalité des aliments ont été réintroduits, veuillez prévenir la récidive de la diverticulite par l’alimentation : quels aliments éviter ou privilégier en cas de diverticules ?

Si la réintroduction des aliments s'avère difficile ou que les douleurs persistent, il est préférable de consulter votre médecin traitant.

Les aliments à supprimer

Les fruits et légumes

Les fruits et légumes sont source de fibres : on compte 2 g de fibres dans 100 g de fruit crus, et 3 g de fibres dans 100 de légumes crus.

Nous vous recommandons :

  • de ne pas consommer de fruits crus, de fruits cuits (sauf les compotes listées ci-dessous), les légumes crus et cuits.

  • de ne pas consommer de jus de fruits avec pulpe : 1 verre de jus de fruits avec pulpe contient 2 g de fibres.

  • d'éviter de consommer de la confiture : 20 g de confiture (une portion) contient 0,2 g de fibres.

  • de ne pas consommer de fruits secs : 25 g de fruits secs (une portion) apporte 2,5 g de fibres.

Les céréales complètes et les légumes secs

Les céréales complètes, semi-complètes et les légumineuses sont extrêmement riches en fibres. Pour 60 g de féculents complets, 4 g sont occupés par les fibres, contre 8 g de fibres pour les légumes secs. De plus, ces fibres sont de nature insolubles (les plus irritantes pour le tube digestif).

Nous vous recommandons :

  • de ne pas consommer de céréales complètes : flocons d’avoine, quinoa, semoule semi-complète ou complète, pâtes semi-complètes ou complètes, riz semi-complets ou complets, etc.

  • de ne pas consommer de légumes secs : lentilles, pois chiches, flageolets, haricots rouges, mogettes, etc.

  • de ne pas consommer de céréales pour petit déjeuner riches en fibres.

Les viandes grasses

Les viandes, dites grasses, sont particulièrement riches en collagène et élastine. Le collagène et l’élastine sont deux protéines fibreuses difficilement réduites par les enzymes digestives.

Sans oublier que consommées cuites, les viandes grasses contribuent à l’inflammation de la muqueuse digestive par leurs lipides de constitution cuits.

Nous vous recommandons :

  • de ne pas consommer de charcuterie : saucisses, rillettes, pâtés, saucissons, quenelles, etc.

  • de ne pas consommer les morceaux de viande de 2ème et 3ème catégories : collier, poitrine, jarret, épaule.

  • de privilégier les viandes blanches ou les parties maigres.

Matières grasses cuites

La matière grasse cuite irrite le tube digestif, ce qui encourage l’inflammation des muqueuses digestives.

Nous vous recommandons :

  • de ne pas consommer de friture : frites, chips, poulet pané, poisson pané, tempuras, chichis, beignets, oignons frits, fromage pané…

  • de ne pas consommer de sauce et de plat en sauce.

  • de ne pas faire cuire les matières grasses : beurre, crème fraîche, huile végétale ou corps gras animaux ;

  • de consommer les huiles végétales crues.

  • d’incorporer les matières grasses après la cuisson.

Les graines et les fruits à coques

Ces aliments sont riches en fibres végétales. Effectivement, on retrouve en moyenne 2 g de fibres dans 15 g de graines ou 1,5 g de fibres dans 15 g de fruits à coques.

Nous vous recommandons :

  • de ne pas consommer de fruits à coques et de graines.

  • de ne pas consommer les produits contenants des fruits à coques ou graines : pain aux céréales, mueslis, etc.

Épices et condiments forts

Certains condiments ou épices ont des teneurs non négligeables en capsaïcine. Cet alcaloïde irrite l’épithélium du tube digestif, contribuant ainsi à l’inflammation.

Nous vous recommandons :

  • de ne pas consommer d’épices fortes, comme les poivres et les piments.

  • de ne pas consommer de condiments forts, tels que la moutarde ou la sauce piquante.

  • de privilégier les épices douces : la vanille, la badiane, le curcuma, la muscade, le safran, la cardamome, etc.

L'alcool

L’alcool encourage l’inflammation des diverticules.

Nous vous recommandons :

  • de ne pas consommer d’alcool.

  • de ne pas consommer de préparations culinaires contenant de l’alcool : chocolat à base d’alcool (chocolat liqueur), coq au vin, baba au rhum, poire poché au vin, bananes flambées, tiramisu original (à base de liqueur), sauce béarnaise, crêpes (suzettes, à la bière ou au rhum), forêt noire, fondue savoyarde, certains cakes aux fruits, etc.

Boissons gazeuses

De manière générale, il est préférable d’exclure les boissons gazeuses lors de diverticules. Le gaz des boissons étire les parois intestinales, ce qui accentue les douleurs.

Nous vous recommandons de ne pas consommer de boissons gazeuses.

Les produits laitiers, en cas d’intolérance au lactose

Les produits laitiers sont naturellement composés de lactose. Chez certains, le lactose est peu ou pas digéré : on parle d’intolérance au lactose. Dans ce cas, le lactose devient un résidu alimentaire.

Si vous ne tolérez pas le lactose, nous vous recommandons :

  • de supprimer les laits de vache, de brebis, de chèvre, de jument.

  • de supprimer les laitages : yaourts, fromage blanc, skyr, etc.

  • de consommer des produits laitiers délactosés.

  • de consommer maximum 20 g de fromage à pâte dure par jour (ils sont dépourvus de lactose) : gouda, parmesan, édam, emmental, etc.

Si vous tolérez le lactose, nous vous recommandons :

  • de consommer maximum 20 g de lactose par jour. 20 g de lactose représentent ½ L de lait de vache ou de brebis, 30 cL de lait de jument, 60 cL de lait de chèvre, 6 yaourts, 200 g de lait concentré, 50 g de lait en poudre…

  • d'éviter les « excès » sur les aliments contenant du lactose : chocolat au lait, chocolat blanc, crèmes glacées, gâteaux, crèmes desserts, etc.

(Pour en savoir plus sur : l'intolérance au lactose et l'alimentation)

Les aliments à privilégier

Les féculents raffinés

Les céréales raffinées apportent moins de fibres que les céréales complètes. On retrouve environ 1,5 g de fibres dans 60 g de céréales blanches. De ce fait, elles n’irritent pas les muqueuses digestives et stimulent peu le transit digestif.

Attention, il est préférable de ne pas consommer les féculents le lendemain de leur cuisson. Le refroidissement des féculents augmente leur teneur en amidon résistant (un glucide peu digeste analogue à une fibre prébiotique).

Nous vous recommandons :

  • de consommer à chaque repas des céréales blanches : pain blanc, pâtes blanches, riz blanc, semoule, biscottes blanches, pommes de terre (sans peau et cuites à l’eau), etc.

  • de choisir de la farine de blé T45 pour vos préparations culinaires.

  • de consommer vos féculents après cuisson, et non réchauffés ou refroidis.

Les poissons, les œufs et les viandes blanches

La Viande blanche, le Poisson et les Oeufs  (VPO) apportent peu/pas de collagène et d’élastine. Ils sont donc plutôt bien digérés et absorbés par l’organisme.

Les viandes blanches (dites également « maigres ») sont : le poulet, la dinde, le lapin et le veau.

Concernant les poissons, misez sur des poissons gras grâce à leur composition en oméga-3. Les oméga-3 sont anti-inflammatoires, ils participeront à résorber l’inflammation des diverticules.

Nous vous recommandons :

  • de consommer 1 à 2 portions par jour de VPO, ce qui représente 100 à 200 g par jour.

  • de consommer au minimum un poisson gras par semaine.

  • de privilégier les cuissons douces, telles que la cuisson à la vapeur, la cuisson au four, la cuisson à l’étouffée, la cuisson à l’eau, etc.

La compote de pomme, la compote de coing, les jus de fruits/légumes sans pulpes

Ces aliments sont les seuls végétaux autorisés dans le régime sans résidus. En effet, ils apportent tellement peu de fibres qu’ils restent supportables pour les diverticules sensibles. De plus, les fibres sont de nature soluble. Cela signifie qu’elles sont moins agressives pour les muqueuses digestives. On compte 1 g de fibres pour la compote de pomme, 1,5 g de fibres pour la compote de coing, environ 0,1 g de fibres pour les jus de fruits ou de légumes.

Leur présence au sein du régime sans résidus est quasi indispensable, puisqu’ils permettent de limiter les carences liées à l'interdiction des fruits et légumes.

Nous vous recommandons :

  • de consommer une à deux compote(s) de pommes et/ou de coing par jour.

  • de consommer un à trois verre(s) de jus de fruits et/ou de légumes par jour.

  • de préférer les jus de fruits et légumes avec extracteur : ils sont totalement exempts de fibres.

Huiles végétales crues

Non cuites, les matières grasses sont autorisées dans le régime sans résidus. Elles contribuent à abaisser les carences nutritionnelles. Veillez à favoriser davantage les matières grasses reconnues pour leur richesse en oméga-3. Les oméga-3 contribuent à limiter l’inflammation des diverticules.

Nous vous recommandons :

Les laitages sans lactose

Les laitages délactosés permettent de profiter des bienfaits des produits laitiers sans les désagréments qui accompagnent l’intolérance au lactose. Ces laitages sont additionnés à la lactase, l’enzyme qui dégrade le lactose.

Les fromages sont naturellement dépourvus de lactose. En effet, la fermentation, l’égouttage et l’affinage éliminent le lactose de leur composition.

Nous vous recommandons :

  • de consommer des laitages et du lait délactosés.

  • de consommer maximum 20 g de fromage à pâte dure par jour : gouda, édam, emmental, parmesan.

  • d’éviter les fromages à pâtes molles. L’égouttage rapide de ces fromages ne retire pas la totalité du lactose.

Les boissons végétales

Pauvres en fibres, les boissons végétales sont autorisées dans le régime sans résidus.

Nous vous recommandons de consommer des boissons végétales en remplacement ou en supplément des produits laitiers : lait d’amande, soja, riz, noix de coco, noisette, millet, cajou, etc.

Mise en pratique : Menu type d’un régime sans résidus

En suivant les recommandations, nous vous proposons un menu type du régime sans résidus. Ce menu énumère les familles d'aliments, vous laissant la possibilité de varier les plaisirs.

Petit-déjeuner :

  • Boisson chaude
  • Pain blanc
  • Matière grasse crue

Collation matin :

  • Compote de pommes

Déjeuner :

  • Céréales blanches
  • Viande blanche, poisson ou œuf
  • Laitage (sans lactose si besoin), ou à base de végétaux
  • Compote de coings

Collation après-midi :

  • Boisson
  • Pain blanc
  • Jus de fruits sans pulpes

Diner :

  • Bouillon filtré avec du vermicelle
  • Céréales blanches
  • Viande blanche, poisson ou œuf
  • Fromage

Collation soir :

  • Jus de légume

Conseils complémentaires

  • Se faire accompagner : instaurer en régime sans résidus n'est pas chose facile. Son exigence et sa complexité peuvent rendre la conception des repas pénible et angoissante. N’hésitez donc pas à consulter un diététicien nutritionniste ou médecin nutritionniste pour vous aider dans sa mise en place.

  • Éviter les repas trop copieux : les repas trop volumineux stimulent le réflexe gastro colique. Ce réflexe provoque de fortes contractions du côlon à l’arrivée de nouveau aliment (l’objectif est de faire de la place dans le côlon). De ce fait, il est préférable de fractionner ses repas en plusieurs petits repas.

  • Misez sur l’huile essentielle de Basilic Tropical : ses propriétés antalgiques, anti-inflammatoires et antispasmodique atténuent les douleurs coliques. Utilisez l’huile essentielle par voie cutanée : une goutte de Basilic Tropical dans quatre gouttes de macérat huileux d’Arnica ou de macérat huileux de Millepertuis, 3 à 4 fois par jour sur la zone douloureuse, jusqu'à amélioration des symptômes.

  • Prenez le temps de bien mâcher et de manger lentement.

  • Hydratez votre corps : il est essentiel de boire en quantité suffisante pour assurer la vacuité du transit digestif. On recommande 1,5 à 2 L d’eau par jour.

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